Le Chi, en français : énergie vitale, est la « substance » de vie dans l’atmosphère. C’est celle que je respire, que je ressens dans une maison. Qui fait que je m’y sens bien. Ou que j’ai envie d’en partir. Qui fait qu’il fait bon y vivre ou pas. Que je récolte dans ma vie à la juste hauteur de mes efforts.
Dans la cuisine, la qualité du Chi est en partie responsable du fait que je vais avoir envie de cuisiner. Ou pas ! De la qualité énergétique de ce que j’y cuisine.
Ce qu’il aime ce Chi, c’est voyager librement pour déposer sur son passage son taux vibratoire plein de bonne volonté : santé, prospérité, harmonie, équilibre.
Il circule selon les mêmes principes que l’eau. S’il rencontre des objets qui le piège, il stagne et devient énergie négative.
La cuisine renferme à elle seule un tiers de cette énergie vitale de toute la maison. Et si le Chi est entravé, ce que j’y prépare sera de faible qualité énergétique.
Le Feng Shui c’est la vie. Une maison Feng Shui n’est pas un sanctuaire. Elle vit comme toutes les autres maisons version plus équilibrée et vitaminée … Si vous aimez vous retrouver en cuisine pour préparer de bons petits plats, à coup sûr, vos étagères regorgent de livres de cuisine …
Rassurez-vous, personne ne vous demande de les retirer. Cela n’aurait aucun sens. Et ne serait donc pas Feng Shui.
Les livres de cuisine et les magasines sont souvent riches en couleurs. Les photos de leurs jaquettes donnent envie de cuisiner. Alors profitons-en et faisons-leur une place. Mais de choix attention !
Voici trois règles à respecter :