Les plantes sont vivantes. Elles nous amènent leur énergie vitale, leur Chi.
Dans la salle de bain, pièce de soins par excellence dans l’habitat, elles confèrent un certain raffinement et nous le valons bien.
Elles s’installent sur nos murs et deviennent des fresques murales.
Les végétaux sont associés à l’élément bois en Feng Shui. J’utilise ces murs végétaux pour créer une zone tampon entre une cuisine et une salle de bain.
Je végétalise le mur de la cuisine mitoyen au mur de la salle de bain.
La salle de bain est de l’élément eau. La cuisine, de l’élément feu.
Or, la cuisine est une pièce à l’énergie capitale pour la bonne vitalité des occupants des lieux car c’est là que je prépare ce que je vais manger et la qualité de l’énergie de la pièce dans laquelle je cuisine va donner le taux vibratoire des plats que je mangerai.
L’eau éteignant le feu, la présence de l’eau près de la cuisine va éteindre l’énergie de cette pièce où je prépare les repas.
Lorsque ces deux pièces sont mitoyennes, on est en présence d’une zone de crash qui pénalise l’harmonie et le bien-être car l’eau et le feu sont deux éléments antagonistes.
Comme tout vivant, lorsqu’elle est mal entretenue, la plante souffre et finit par mourir. Lorsque c’est le cas, il faut la retirer et la remplacer. Faute de quoi, c’est de l’énergie fin de vie que vous respirerez et c’est cette énergie qui se répartira dans toute la pièce.
Outre l’aspect décoratif, les plantes possèdent la faculté de bioépuration.
Les premiers à tester l’efficacité des plantes à dépolluer l’air furent des scientifiques de la NASA dans les années 80. Ils souhaitaient alors développer un filtre biologique efficace dans les stations spatiales et les édifices écologiques.
Trente ans plus tard, l’utilité d’une dépollution des intérieurs est toujours pertinente puisque les individus vivant dans les pays développés passent environ 20 heures par jours à l’intérieur d’édifices, où la qualité de l’air est souvent inférieure à celle de l’extérieur. Certaines études de l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur montrent que l’air intérieur est 5 à 10 fois plus pollué que l’air extérieur, ce qui rend pertinent la recherche de plantes dépolluantes et son entrée dans nos habitats !